900g de drêche d’orge
400g de farine de blé T60
100 g de farine de sarasin
230g de beurre
200g de sucre
On remue le tout, on obtient une pate elastique,
petits tas sur du papier sulfurisé, 1 h au four : 160° pendant 1/2 heure puis 180°
Seigle de Jean :
Rinçage des grains de seigle, afin d’éliminer poussières ou micro-déchets qui sont restés depuis le champs, ou ont été rajoutés lors des manutentions.
Puis trempage 9h drainé (dans un panier) 5h, trempage 10h, drainé mercredi 9h00 durée 10h trempage 9h drainé – étalé sur une plaque troué , humidifié à t+8h
mais ça ne se conserve pas très bien. elles commencent à fermenter au bout de quelques heures après le brassage. Aussi, je vais essayer une recette de petits gateaux.
J’utilise tout de suite 900g de drèches un peu humide (donc orge+blé)
Je rajoute 300g de farine de seigle, 150g de poudre d’amande, 2 oeufs, 200 g de sucre, 200g de beurre.
je fais des petits tas avec la pate (un peu visqueuse) obtenue, sur un papier cuisson, puis 50mn à 190°.
J’en profite pour faire secher dans le four deux plateaux de drèche étalées (un bol de kenwood chef rempli à ras pèse 3,2 kg.
Que faire après avoir épluché les petits-pois, avec toutes ces belles cosses luisantes ?
Je les coupe en morceaux, je les fait cuire longuement (30 minutes) et… c’est toujours terriblement fibreux.
Je décide de toute mettre dans un petit bol et de donner un coup de mixer plongeant, puis de passer au chinois : j’ai obtenu une petite quantité d’un velouté très parfumé (et un gros tas de fibres) : il faudra essayer en rajoutant plus de liquide dans le bol, je pourrai extraire plus de matière je pense.
En visite chez Tang frère, je croise un produit bien étrange :
On voit sur wikipedia que Mesona procumbens doit être appelé : Mesona chinensis (https://www.wikiwand.com/fr/Mesona_chinensis).
Visuellement, la plante fait penser à de la menthe :
http://libproject.hkbu.edu.hk/was40/detail?lang=en&channelid=1288&searchword=herb_id=D01248
et je reçois le nouveau panier de mon AMAP ce soir !
Heureusement, je vous propose une solution :
Le Pounti d’épinard.
Le Pounti est un plat traditionnel auvergnat, qui permet d’intégrer facilement toutes sortes de « verdures ». La recette plus classique est à base de cardes (le vert seulement) (quelle coïncidence, il y a en ce soir), mais on peut remplacer les cardes par des épinards et/ou des fanes de radis et/ou des fanes de petits navets, etc..
Ma recette personnelle (allez voir sur marmiton pour voir les autres options) :
Nettoyer 900 g d’épinards (on a mangé 100g en salade),
Faire revenir dans une poêle un ou deux oignons
Puis y jeter les épinards 5 minutes.
→ Là on peut stocker cette mixture au frigo une journée
Faire une sorte de pâte à crêpes :
100g de farine
3 œufs
25 cl de lait,
un sachet de levure
Mélanger les épinards-oignons avec 200 g de char à saucisse (j’ai pris des saucisses que j’ai épluchées)
Intégrer la mixture dans la pâte à crêpes, bien touiller.
Glisser dans un moule à cake huilé
Rajouterdans la pâte une quinzaine de pruneaux réhydratés.
Et hop, au four 180° pour une heure.
Je recommande de découper en tranche et de réchauffer rapidement à la poêle, servir avec une salade.
Avantage remarquable : on peut s’en découper quelques tranches pour amener au bureau le lendemain.
nota bene : je mets deux fois plus de verdure que dans les recettes usuelles, du coup la consistance apres deux ou trois jours n’est pas extraordinaire.
Il faut faire réduire avant cuisson, ou mettre moins de vert, si on veut un « gateau » qui se tienne mieux.
D’abord quelques références :
http://desirdetre.com/dietetique-chinoise-le-chou-rave/ et sa citation : « un bouillon de choux raves fait perdre au médecin cinq sous ».
comme je fais attention à mon empreinte carbone (humm..et que je suis plutôt fainéant) je le mange cru.
Il faut vraiment bien l’eplucher, s’il reste des filaments de la partie supérieure, c’est désagréable (on est pas des lapins).
Sinon, apres, comme la betterave, on peut le raper (je viens de raper deux semaines de jeunes betteraves, ca fait une salade pour 4-5 personnes).
Mais mon mode préféré c’est de couper en tranchette très fines (genre on voit à travers) , que je coupe éventuellement ; très croquant dans les salades variées. Je joins une photo parlante.
Je place 3,4 litres d’eau du robinet dans une marmite , je fais bouillir 10 minutes : peut-etre que ça élimine une partie du chlore, et cela détruit certainement toute trace de bactéries.
Pendant que ça chauffe, je nettoie les deux mini-dame jeanne qui vont me servir pour la fermentation. Je dissous un peu (un quart de cc) de « chemi pro oxi » (du percarbonate de sodium) avec de l’eau chaude, je fais circuler dans la bouteille, je vide, je laisse sécher.
Je veux utiliser avec le même mout deux levures, soit pour chaque test 1,7 litres, avec mes mesures precedentes, une grosse mini-cuillere de S33 ou de bioferm. Je reprends deux fois 3cl d’eau et je rajoute les levures (17h39)
Je rajoute le miel quand l’eau est redescendu à 70°. Puis je mets au bain marie dans mon evier rempli d’eau froide.
Je rajoute dans chaque bouteille 3 mini-cuillere d’acide tartrique.
Je mets en bouteille quand la temperature du mout est descendu en dessous de 25° (18h10). Entretemps, j’ai embarqué plus d’un demi-litre d’eau du robinet, avec une fausse manipulation dans l’evier où il y avait la marmite.
Je vais donc avoir 2 fois 2 litres plutôt, avec un niveau d’alcool un peu plus faible.
Densité mise en bouteille : 1,071
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