Ceci est une note sur une méthode pour avoir son propre univers dans le cloud, ses fichiers, en sécurité. Il semble que l’utilisation de serveur virtuels, comme ceux que gère OVH, est en fait assez économique en ressources, pour une utilisation faible.
Je compare deux situations : avoir deux disques durs de 1 To, dont un est une copie du premier, qui contient mes fichiers « critiques » et personnels, versus déclarer sur les infrastructures de OVH un serveur virtuel faisant tourner un NextCloud.
Pour fabriquer deux disques, il faut produire, en asie, deux unités en plastique, métal, une alimentation, des microprocesseurs dédiés. Dans cinq ans ou dix ans, ce matériel devra être envoyés à la gestion des déchets, avec un temps de fonctionnement assez faible, petu etre 1% de ses capacités maximales.
OVH mutualise sur des infrastructures ayant des matériels à la pointe, d’une part les processeurs, d’autres part le stockage. C’est à dire que si les appels à mon cloud sont rares, il n’y aura que très peu de consommation de service de calcul, et les disques qu’ils utilisent sont toujours remplis de manière optimale. Et leur matériel « meure » non pas de vieillesse, mais après été explité au maximum des capacités pour lesquelles il a été fabriqué.
Du coup, j’installe pour ma société un outil de Cloud, nextcloud, et voici les deux fichiers d’install que j’execute , sur une serveur Debian vierge.